Nous sommes
coachs en
savoirs digitaux
Si depuis une certaine pandémie, le travail à distance avec les outils digitaux s’est largement – et parfois à marche forcée – démocratisé, il reste beaucoup à faire en termes de formations digitales vraiment efficientes.
Depuis 2011, nous formons vos équipes au digital et créons des outils collaboratifs pour transmettre à toutes et tous les clés de l’agilité.
Autonomiser vos équipes au digital
Notre conviction, c’est que les savoirs-faire numériques sont accessibles à tous et que les formations digitales demandent une approche spécifique et très concrète pour porter leurs fruits au quotidien.
C’est pourquoi nos formations digitales et nos outils sont co-construits avec vous et vos équipes. dans une démarche sur mesure pour répondre à vos besoins.
C’est donc avec vous que nous imaginons des programmes, des formats, des modules adaptés à la culture de l’entreprise et aux contraintes des équipes.
Notre méthode : le learning-by-doing.
Notre ingénierie pédagogique : le blended-learning mêlant des modules d’e-learning et des ateliers présentiels de mise en pratique, avec un suivi constant du transfert de compétences.
L’Academy Nexize
La Nexize Academy est notre LMS (Learning Management System) maison.
Elle met l’apprenant au centre de la formation par des cours découpés en modules courts, une validation des apprentissages pas-à-pas et un suivi personnalisé des avancements dans le programme.
L’essentiel des connaissances et des bonnes pratiques est ainsi maitrisé par chacun, avant de finaliser la formation dans des ateliers de mise en pratique.
Quelques-uns de nos programmes :
Intégrer l’IA pour réinventer votre marketing digital
Créer et optimiser des campagnes d'ads sur tous les res réseaux
Déployer et paramétrer GA4 pour mieux comprendre vos audiences
Concevoir, mettre en place et piloter un tunnel d’acquisition efficace
Mieux utiliser la data pour construire des parcours web qui convertissent
Hacker votre visibilité web par un référencement naturel concurrentiel
Nos outils métier
Au-delà des formations digitales, l’autonomisation de vos équipes passe aussi par des outils dédiés pour collaborer, créer et déployer des projets web rapidement et agilement.
Nexize Lab
Un gestionnaire de projet collaboratif pour piloter en équipes des chantiers complexes et partager l’information dans des groupes de travail.
Nexize Studio
Une usine à sites, permettant de déployer sans codage des mini-sites et des landing pages pour construire des tunnels de conversion optimisés.
On y parle de
transformation digitale
L’IA va-t-elle tuer des emplois?
L’intelligence artificielle (IA) est l’une des technologies les plus prometteuses de notre époque. Elle est déjà utilisée dans de nombreux domaines, notamment la finance, la santé et les transports. Mais l’utilisation croissante de l’IA soulève des inquiétudes quant à son impact sur l’emploi. Alors, l’IA va-t-elle tuer des emplois ?
Bing versus Bard et guerre des IAs : vers une disruption de l’économie digitale en 2023 ?
La guerre des IAs a démarré. En devançant Google sur l'intégration de ChatGPT à Bing, son moteur de recherche, Microsoft a tiré le premier... et un peu tôt peut-être. Mais quels changements plus profonds cela implique pour l'économie du digital ?
ChatGPT : le vrai, le faux et l’inconnu
ChatGPT est sous le feu médiatique. Et si lui-même produit des erreurs, quelques-uns des humains qui commentent le phénomène ne sont pas en reste. Essayons donc de démêler le vrai du faux autour de la star des IAs
Le marketing IA pour booster stratégies & campagnes
Les dernières innovations du marketing IA sont en train de bouleverser en profondeur les process de marketing digital. Petit état des lieux pour comprendre et inventer de nouvelles solutions !
Le metaverse est-il vraiment le futur du web [spoilers] ?
Depuis que Mark Zuckerberg a rebaptisé son groupe en Meta, on ne parle plus que de metaverse comme seul futur du web. Entre storytelling et vraies perspectives, que faut-il en penser ? Et pour qui ? On fait le point.
Covid : quelles stratégies pour tenir et rebondir ?
La pandémie de Covid-19 réveille une perception que l’on avait bien enfouie : celle de la fragilité de notre monde, de notre modèle économique, de nos entreprises, de nos existences… A ce choc – sanitaire, puis économique, mais éminemment psychologique – va probablement répondre dans le monde d’après un besoin accru de solidarité de terrain et de participation.
L’ordinateur quantique, une clé pour demain ? (feat. The Flares)
Attention, avec ce post, on est un peu dans la hard science. Début 2019, IBM a dévoilé le 1er ordinateur quantique commercial. Mais c’est quoi au juste, un ordinateur quantique ?
Amazon : la croissance à tout prix
Finalement, c’est quoi le métier d’Amazon ? Distributeur ? On serait tenté de le croire. Et il est même depuis 2016 le premier distributeur non alimentaire en France en termes de CA… Sauf que son activité de loin la plus rentable, se situe dans le cloud avec Amazon Web Services qui dégage une marge opérationnelle de 25 %.
La « vieille économie » saura-t-elle disrupter les GAFAs ?
Dans la distribution, ce début d’année a été marqué en France par l’annonce de la suppression de plus de 2000 emplois chez Carrefour, et la cession ou la fermeture de plusieurs magasins de petite surface – essentiellement d’anciens Dia récemment rachetés par l’enseigne. Autre évènement, l’ouverture au public du magasin sans caisse Amazon Go situé au pied de l’un des gratte-ciels de son QG de Seattle, après des mois de tests qui ont amusé bien des commentateurs puisque le système buguait dès que le nombre des clients dépassait la dizaine. Si la stratégie diffère d’un continent à l’autre, l’objectif demeure le même : la reconquête des centres-villes, totalement délaissés aux USA et abandonnés au groupe Casino en France. Les anciennes supérettes hard discount Dia son rapidement devenues des Carrefour City ou Contact – en concurrence frontale en région parisienne avec notamment les Franprix et autres Monoprix ; l’ancien patron de la Fnac
Statistiques & futur du travail
On ne se méfiera jamais assez des chiffres, même lorsqu’ils proviennent d’instituts publics très sérieux comme l’Insee ou qu’ils sont publiés par des organismes tout aussi conséquents que l’Ocde. Les Français sont des fainéants – du moins à en croire la rumeur publique : pourtant selon justement l’Ocde, un Français disposant d’un emploi travaille 1472 heures par an contre 1713 pour un Japonais … mais seulement 1363 pour un Allemand. Les plus besogneux sont les … Mexicains, avec 2252 heures annuelles ! Travailler moins garantit-il un taux d’emploi élevé : c’est vrai que celui-ci s’élève à 75,1% outre-Rhin – toujours selon l’Ocde – contre 64,6% en France … mais 75,5% au Japon : pas vraiment de recettes miracles ! L’Islande se classe parmi les très bons élèves en terme de taux d’emploi mais est aussi un des pays où on travaille le plus 1883 heures par an ; c’est aussi celui où le niveau d’études supérieures est
Utopie ou dystopie : l’heure du choix
En ce début d’année, les experts marketing rivalisent d’imagination pour révéler à leurs lecteurs leurs prévisions pour 2018. 2017 fut l’année de l’Intelligence Artificielle, 2018 sera celle d’applications plus concrètes comme les chatbots, la réalité augmentée mais aussi … les Fake News – et encore, nous ne parlons ici que celles concernant les marques ! Précision : ces prévisions ne sont pas les miennes, mais ont été juste glanées au détour de quelques blogs.
Bienvenue Demain (feat. The Flares)
C’est une tradition : chaque fin d’année apporte son lot de prédictions pour la suivante. Et comme souvent avec les prédictions, peu se réaliseront comme prévu, d’autres resteront anecdotiques, d »autres encore ne verront jamais le jour… Il n’empêche, c’est toujours tentant de prédire l’avenir…
Touchez pas au bitcoin !
L’avantage avec le Bitcoin, ce ne sont pas les gains colossaux – et les pertes tout aussi détestables – que l’on peut réaliser en spéculant dessus ; non c’est que, et ce quelle que soit la période de l’année, il y a toujours quelque-chose à dire ! Déjà le concept même de monnaie virtuelle, de monnaie cryptographique, d’une monnaie échappant au contrôle des états : il y avait de quoi gloser, voire même fantasmer dans la mesure où personne ne comprenait vraiment de quoi il retournait. Et puis, il avait la personnalité même de son créateur, le fameux Satoshi Nakamoto, que personne n’a jamais rencontré, et pour cause : personne ne sait qui se cache sous le pseudonyme … et même s’il y a quelqu’un : peut-être un groupuscule de geeks un peu fêlés ? Ensuite il y a le storytelling autour du Bitcoin avec des histoires comme celle de James Howells, un Gallois en 2013
L’ubérisation a-t-elle une éthique ?
La nouvelle n’a pas fait la une de l’actualité, mais pourtant elle n’est pas neutre : « Ryanair se déclare prêt à accepter les syndicats de pilotes pour éviter des grèves ». Jusqu’à présent, c’était plutôt « Marche ou crève », ou du moins : « Bosse ou casse-toi », la compagnie ne faisant pas dans le social – le social, ça coûte trop cher. Le social, ça coûte trop cher, c’était même la tendance en vogue depuis la montée en puissance d’Internet au début des années 2000 – et Ryanair, nouveau roi du low cost, avait initié le mouvement. Mouvement repris quelques années plus tard par Uber et autres Deliveroo, pour qui les travailleurs ne sont que de simples variables d’ajustement ; et tandis que les nouveaux papes du marketing – ou les papes du nouveau marketing, au choix – s’extasiaient devant la qualité d’un service qui ringardisait les taxis parisiens, les « esclaves modernes » souffraient en silence
Révolution digitale & fin des dinosaures
Il est toujours de bon ton pour les acteurs de l’économie numérique de se gausser de tous les mastodontes du 20ème siècle qui peinent à suivre … ou ont sombré corps et âme : et le nom de Kodak revient sans au cœur des moqueries. Parmi ces mastodontes, on identifiera quand même quelques joyaux … du numérique, comme AOL – qui ne se remettra jamais de son rapprochement raté avec Time Warner – ou Yahoo, racheté comme AOL par Verizon après avoir manqué le coche des moteurs de recherche. Tout cela parce que sans cesse apparaissent des technologies de plus en plus prometteuses qui sans viennent bousculer les habitudes, ou en créer d’autres – technologies qui s’en vont sombrer à leur sous les coups de boutoirs de plus nouvelles technos … cercle sans fin ! Les appareils photos numériques ont signé la mort des analogiques … tout comme le téléphone mobile signera celle
Travail : l’obsolescence programmée
Dans une récente chronique, une avocate, responsable juridique social d’un grand cabinet de recrutement spécialisé, détaillait les risques encourus par un salarié à trop surfer sur les médias sociaux pendant ses heures de travail, soulignant qu’une « connexion internet de longue durée à des fins non professionnelles peut aboutir à un licenciement pour faute grave » après avoir rappelé que « l’employeur est en droit de surveiller les connexions internet des salariés »… Juridiquement, la logique apparaît certes imparable et sans faille, mais sociologiquement, elle est juste … obsolète : si ce sont de loin les jeunes qui surfent sur les médias sociaux durant leurs heures de travail, il y a belle lurette qu’ils n’utilisent que leur mobile pour cet usage ! Force est de reconnaître que le droit social peine à s’adapter au 21ème siècle : si un nouveau monde se construit, nombreux dirigeants ne conservent comme repères que ceux hérités de l’ancien : le cas d’Uber
15,7 trillions de $ au soleil de l’IA
15,7 trillions de dollars d’ici 2030 – même avec un dollar faible, ça représente une belle cagnotte ! C’est selon le cabinet PwC, le gain de productivité que permettra l’intelligence artificielle d’ici 2030. Ce qui se traduira par des investissements massifs dans tous les secteurs économiques, où les « machines » vont peu à peu remplacer les hommes – un peu comme sur les chaînes de l’industrie automobile à la fin du 20ème siècle, sauf que désormais, ce sont clairement le tertiaire et les emplois qualifiés qui sont visés. Les enjeux sont colossaux, notamment en marketing et relation client… Tiens, la banque de détail, par exemple : vous venez d’être augmenté et votre famille attend un heureux évènement, vous vous précipitez à votre agence pour négocier un nouveau crédit avant de commencer à faire les petites annonces immobilières. Mais demain, ce sera votre banquier – ou plutôt un chatbot de la banque
TaskRabbit : les laborieux petits lapins
Une caricature qui circulait sur la toile il y a quelques années montrait trois types en train de rigoler comme des fous, avec pour légende : « Ingénieurs de chez Ikea imaginant la tête du client découvrant leur nouveau système de montage ». Le géant suédois semble avoir retenu la leçon puisqu’il vient de racheter la plate-forme de partage de services TaskRabbit qui permet de trouver près de chez soi un bricoleur amateur pour repeindre un mur ou monter … un meuble Ikea par exemple. Les marques peinent parfois à s’adapter à l’économie collaborative. AccorHotels, après avoir subi de plein fouet la montée en puissance d’un Airbnb dont la valorisation dépasse la sienne, a racheté en 2016 onefinestay, le Airbnb du luxe, et propose désormais son offre en parallèle de ses Sofitel. Inversement Monsieur Bricolage a lancé il y a deux ans ladepanne, premier site de location et vente d’outils entre particuliers, et
Plateformes : la fin du Far West ?
Le législateur a toujours été en retard sur les réalités sociétale et économique – et on ne saurait le regretter : rien de pire que légiférer dans l’urgence ! Mais ces dernières années, l’écart s’est brusquement creusé avec l’accélération liée aux nouvelles technologies – d’où parfois de graves dérives ! L’économie de plateforme constitue à cet égard un bon exemple : tout le monde a en tête les exagérations du fondateur et ancien patron d’Uber, Travis Kalanick, de même que les conflits à répétition entre l’entreprise et ses chauffeurs, sans parler de ses problèmes avec certains tribunaux. Mais Uber n’a jamais été que l’arbre qui cache la forêt d’une société en mutation, où les jeunes générations rejettent le salariat pour l’indépendance et où les consommateurs institutionnalisent la débrouille pour arrondir leurs revenus. Et les abus pleuvent … C’est Deliveroo qui supprime la garantie de paiement pour ses coursiers sur les principaux créneaux horaires et généralise
Freelances : la « free entreprise », modèle du futur.
La nouvelle réforme du code du travail agite fortement organisations syndicales et patronales – pas pour les mêmes raisons, bien évidemment – la classe politique dans son ensemble, ainsi que les médias … peut-être un peu les citoyens. Cela fait des années que l’on nous rabâche que l’actuel code n’est plus adapté à notre société : il date d’une époque révolue, la France est en retard par rapport à de nombreux pays… Ce n’est pas faux, mais c’est une vision à court-terme. Lorsque l’on écoute les arguments des uns et des autres, on peut surtout se demander si la classe politique dans son ensemble, les organisations syndicales et patronales et les médias ne sont pas en train de nous construire le code du travail d’une société elle aussi… révolue. Ci-gît le salariat, 1908 -2050. Car le salariat, cette invention relativement récente, imposée par le fordisme au début du XXème siècle et
Mythes du 21ème siècle : les robots voleurs de jobs
Accrochez-vous à votre fauteuil, robots et autres intelligences artificielles vont vous contraindre au chômage plus rapidement que vous ne l’imaginiez puisque selon une très sérieuse étude publiée par la non moins sérieuse Université d’Oxford, 47 % des emplois seraient automatisables d’ici 20 ans : en d’autres termes, d’ici deux décennies – ou encore en l’espace d’une génération – 50% des travailleurs vont perdre leur emploi. Pas seulement les ouvriers : en fait dans l’industrie, la robotisation est déjà loin derrière, les machines intelligentes ayant déjà remplacé les cols bleus sur les chaines de montage automobile. Pas seulement les employés, même si c’est parmi les jobs faiblement qualifiés que les dégâts seront les plus violents et surtout les plus rapides : ainsi plus besoin de télémarketeurs pour placer produits et services par téléphone, les bots feront parfaitement le job à leur place … beaucoup moins cher ! Mais les médecins ont bien du soucis à
Disruption et big data
Le terme fait le buzz dans le petit monde du marketing depuis … 1997 et la publication du livre éponyme par Jean-Marie Dru. Petit rappel : c’est une marque déposée par TBWA dans 36 pays ; mais c’est aussi un vocable appartenant au lexique anglais, dont on peut se demander comment il a pu faire l’objet d’un dépôt dans les pays anglophones ! Le terme a pu faire le buzz, parce que propulsé par un publicitaire de talent et disposant de moyens : à l’époque, les grands patrons de la communication qui pondaient un ouvrage se voyaient généreusement offrir de l’espace par les régies publicitaires d’affichage, d’où ces magnifiques campagnes que même un Goncourt n’auraient jamais pu se payer. Sinon, c’est juste l’art de faire du neuf avec du … très vieux ! Car le marketing se doit de pratiquer la disruption depuis toujours : tout concept se doit d’être innovant, crédible et bien sûr différenciant.
Mythes du 21ème siècle : le trolling
« En argot Internet, un troll caractérise ce qui vise à générer des polémiques », nous renseigne Wikipédia ; on peut troller partout : sur Twitter ou Facebook bien sûr, mais aussi sur un Forum ou en publiant une image, voire une vidéo, etc. Comme pour tout phénomène de mode, le trolling s’enrichit de multiples expériences qui n’ont pas grand-chose avec … les trolls ; ainsi quand Greenpeace attaque Nestlé via sa marque Kit Kat pour dénoncer la déforestation de la forêt indonésienne (voir ici pour ceux qui auraient oublié), on peut parler de bad buzz, de militantisme, etc., mais pas vraiment de trolling. Dans la mythologie scandinave, les trolls apparaissaient comme des génies malfaisants, responsables de toutes sortes de nuisances plus ou moins malignes, de simples insultes à des enlèvements d’enfants, avec pour seule motivation … de nuire, juste de nuire. Ce qui nous empêche de considérer les actions de Greenpeace comme du trolling :
Mythes du 21ème siècle : le transhumanisme
« L’éternité, c’est long, surtout vers la fin », plaisantait Woody Allen, ce qui devrait donner à réfléchir à un certain Ray Kurzweil, le « pape » du transhumanisme, ou son chantre français, le docteur Laurent Alexandre, capable d’affirmer aux Echos : « Grâce aux progrès foudroyant de l’industrie du vivant, l’homme qui vivra 1000 ans est déjà né ». Nota : pour ceux qui ignoreraient encore tout du transhumanisme et de ses brillants zélateurs, Wikipédia en parle ici très bien. Même si le transhumanisme n’est pas exempt d’implications religieuses – offrir aux hommes d’accéder à une quasi éternité remet en cause l’autorité divine –, il ne constitue en rien une religion : il se situe dans une autre … temporalité. Les principales religions monothéistes situent la vie éternelle après la mort tandis que pour le transhumanisme, elle devient accessible ici et maintenant – presque, quelques petits réglages restant cependant à effectuer ; et en ce sens, l’éternité transhumaniste constitue
Mythes du 21ème siècle : Second Life
Dans la série « Mythes du 21ème siècle », Second Life nous rappelle une époque révolue : la préhistoire d’avant Facebook ! Lorsqu’on interroge de jeunes internautes, plus personne ne connaît Second Life, et les plus anciens pensent que le méta-univers a sombré corps et âme ; et pourtant, il survit à sa déchéance, au purgatoire des révolutions mort-nées. Né en 2003, Second Life connaîtra son heure de gloire en France en 2007, quand les candidats majeurs à l’élection présidentielle – Sarkozy et Royal en tête – ouvriront leur ile : car sur Second Life, nous – enfin nos avatars – vivions sur des iles. Second Life préfigurait l’Internet du futur, un Internet en 3D où les individus se déplaçaient sous forme d’avatars et où, au lieu de créer des sites, on bâtissait des … iles ! Et où on se déplaçait en volant … Univers de fantasy, prompt à séduire les amateurs de jeux vidéo et les
Transformation digitale ou transformation culturelle ?
Début des années 2000 : quelques marques se risquent à annoncer sur Internet – à l’époque, on n’avait guère le choix qu’entre display et display ! Risques très minimes sur un média aux coûts dérisoires et qui pèse alors moins de le cinéma. Discours surréalistes entre des directeurs médias quinquagénaires qui veulent bien tenter l’expérience mais non sans garde-fous : GRP, coûts au 1000, distributions de contacts, etc. Et des spécialistes du Web à peine trentenaires qui leur expliquent que ce qui compte, c’est de développer des stratégies Win-Win où il faut savoir « donner quelque-chose » pour que les internautes acceptent de « donner » de leur temps. Premiers conflits générationnels … D’années en années, mêmes incompréhensions : entre des techniciens du Web 2.0 qui expliquent que tout se passe dans la générosité et des directeurs marketing qui parlent ROI ; entre des pros des réseaux sociaux, etc. Aujourd’hui pourtant, tout le monde s’accorde à reconnaître que les
Mythes du 21ème siècle : le Growth Hacking
Growth Hacking : certainement un des buzz words de l’année – et même de ces années. Un terme qui tout à la fois séduit et effraie les marketers. Qu’entend-on par Growth Hacking ? La recherche d’une croissance rapide par tous les moyens possibles : on tente un truc, ça ne marche pas, on jette, on tente un autre truc, ça ne marche pas, on jette, on tente … jusqu’à ce que ça marche – ou que la startup disparaisse après avoir épuisé tous les investisseurs potentiels. Le Growth Hacking constitue la condition sine qua non de survie de bon nombres de jeunes pousses, surtout sur les marchés où n’importe qui peut aisément copier une bonne idée : car il ne convient pas d’avoir le 1er la meilleure idée, cela ne suffit pas : il faut absolument être le 1er à atteindre la taille critique qui fermera les portes derrière soi. Uber et Airbnb en savent quelque-chose :
CDO : il ne doit en rester qu’un !
L’année 2016 aura été l’année des CDO – Chief Digital Officier pour ceux qui n’aiment pas les acronymes : French Web le qualifiait même de « Ninja de la transformation (digitale) » : « une sorte de combattant peu orthodoxe qui fait face à un ennemi non conventionnel : la résistance au changement ». Et puis, patatras : en décembre, le Journal du net l’enterre : « Le Chief Digital Officer est mort » : et de le comparer au « patron de l’électricité […] poste important il y a 100 ans » ; bref, tout le monde s’accorde pour dire que le CDO est sur un siège éjectable et qu’il sautera d’autant plus vite qu’il aura bien fait son job ! Pourtant, il n’y a pas si longtemps, bien des CMO – ces bons vieux Chief Marketing Officier, encore appelés Directeurs Marketing – se plaignaient de l’omniprésence de ces maudits CDO qui occupaient des postes incontournables dans la hiérarchie – ils accédaient au board,
La voiture connectée ne fait pas vraiment rêver
Récemment le Journal du Net publiait une infographie montrant qu’à fin 2021 – dans 5 ans donc – les voitures connectées représenteront 16% du parc automobile français – à comparer aux 400 000 véhicules connectés de 2016 ! Plusieurs remarques s’imposent, la première étant que cela nous donnerait pour 2021 un parc automobile français de plus de 55 millions de véhicules … soit une progression de 16 millions (notre parc étant estimé à ce jour à un peu moins de 39 millions par le Comité des Constructeurs Français d’Automobiles), soit plus de 40% en 5 ans … cherchez l’erreur ! Seconde remarque : qu’est-ce qu’un véhicule connecté ? Car 400 000 circulaient déjà sur nos routes l’an passé … En faut, la définition est vaste – et pas nécessairement futuriste ; ainsi le site IFP Energies Nouvelles le définit comme étant « équipé de façon à être connecté avec l’extérieur […] Il intègre des systèmes de connectivité sans fil
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